numéro 24

 

géante rouge

rédacteur en chef : Patrice Lajoye

Format livre

192 pages – disponible
Prix : 14,99 € (dont 3,99 € de frais de port)

Format numérique

4,90 € / Tout en couleurs et avec des nouvelles en bonus !

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éditorial 24

 

   
EXTRAIT
E
N 2011, ALORS QUE GEANTE ROUGE errait un peu à la dérive après que j’en eus repris nominalement la rédaction en chef, tout simplement parce que, ajoutant à la direction de Galaxies mes autres activités professionnelles, je ne parvenais plus à dégager pour le fanzine que j’avais créé en 2005 le temps disponible, j’avais eu le bonheur de rencontrer Patrice Lajoye. Patrice venait, avec son épouse Viktoryia, de produire pour Galaxies un dossier sur la science-fiction russe, qui s’inséra dans le N°11 de la nouvelle série. Il y a des rencontres spéciales, pendant lesquelles on se dit que, décidément, il ne pouvait en être autrement, et qu’il faut absolument qu’on réalise quelque chose ensemble. Patrice avait la réactivité, la rapidité, la gentillesse et l’inconscience nécessaires pour reprendre au vol une revue qui sombrait petit à petit. Quand il a accepté de conduire les destinées de Géante rouge, avec sa propre vision, avec ses choix éditoriaux, sa maquette, et les deux seules contraintes de publier chaque année les mini-nouvelles sélectionnées du Prix Pépin, et un texte d’Hugo van Gaert, le résultat ne s’est pas fait attendre.

Géante rouge devenait annuelle, et atteignait rapidement son tirage actuel de 400 exemplaires, pas mal, pour un Fanzine. Patrice a donc conduit à bon port six livraisons de Géante rouge, les numéros19à24: de superbes numéros, et il y a inclus de fort bons textes et de fort bons dossiers. Aujourd’hui, ainsi qu’il vient de vous l’annoncer en éditorial, pris par l’heureux développement des éditions Lingva, que dirige Viktoryia (faut-il rappeler que le couple Lajoye avait obtenu à Kiev, en 2013, le Prix des meilleurs traducteurs européens?), ainsi que par son implication dans la recherche, et là aussi l’édition, il a décidé de passer la main. Hugo van Gaert, libéré depuis peu de ses obligations professionnelles par une retraite sans doute bien méritée, reprend donc le flambeau, mais il ouvre grand les portes (…)

Hugo Van Gaert