numéro 51
dossier: les extraterrestres
Responsable du dossier: Jean-Pierre Andrevon
Format livre
192 pages – disponible
Prix : 14,99 € (dont 3,99 € de frais de port)
Format numérique
4,90 € / Tout en couleurs et avec des nouvelles en bonus !
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éditorial 51
EXTRAIT
Un numéro consacré en grande partie aux extraterrestres, voilà qui n’est sans doute pas très original, mais qui vient néanmoins à sa place et en son temps avec ce numéro de Mercury-Galaxies. Avec un dossier sur nos amis de l’espace, que j’ai rédigé dans la souffrancecar, pour rendre compte tant que faire se peut de la prolifération des Aliens, aussi bien dans la littérature qu’au cinéma, c’est trois fois plus de place qu’il m’aurait fallu… que dis-je, dix fois. Mais admettons que ce n’est qu’un début, et que le combat continue. Trois des six nouvelles au sommaire abordent le thème, Migrants, due à Laurent Mantese, que j’ai déjà accueilli il y a un an dans ces pages, et aujourd’hui accolé Pierre Gontier, pour un récit qui fleure bon les années 50; La Bête dans la pierre, signé du pseudonyme de Nashtir Togitichi (j’ai vainement tenté de lui faire accepter de signer sous vrai nom), un jeune auteur quinquagénaire dont c’est le tout premier texte publié; et L’Appel du surhumain, lui dû à une vieille connaissance, Jean-Pierre Laigle, ou Moumon, comme on voudra.
S’y ajoutent un court texte de mon vieil ami George W. Barlow, Le Problème du cœur, que j’avais publié il y a… ouf! dans CHARLIE Mensuel, ce qui me permet un brin de nostalgie; une nouvelle de l’incontournable Robert F. Young, La Machine à voyager dans le temps, que mon co-rédacteur en chef Jean-Pierre Fontana a glissé dans mes sabots de Noël au lieu de la garder pour lui; et enfin, pour “Le service des affaires classées”, résurrection indispensable tirée de l’indispensable FICTION qui nous a formés, en tout cas nombre d’entre nous, une des cinq uniques nouvelles que Daniel Drode, auteur du mythique Surface de la planète, a écrites dans sa bien trop courte vie. Alors, puisque cette publication aborde l’année 2018, je ne peux qu’espérer, sur le champ de cet an nouveau, voir pousser de verts talents. Sans glyphosate, évidemment. (…)