numéro 59
dossier: christine renard
responsable du dossier: jean-pierre fontana

Format livre
192 pages – disponible
Prix : 14,99 € (dont 3,99 € de frais de port)
Format numérique
4,90 € / Tout en couleurs et avec des nouvelles en bonus !
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éditorial 59
EXTRAIT
CHRISTINE RENARD nous a quittés le 7 novembre 1979, laissant une œuvre aussi importante qu’incomplète, la maladie l’ayant emportée en pleine possession de son écriture. À l’occasion de ce quarantième anniversaire de sa mort, Galaxies et l’association Éditions Gandahar se sont donc associés pour rendre hommage à cette grande dame de l’imaginaire français, au style si particulier et aux thèmes abordés tant appréciés par les uns et que rejetés par d’autres, en cause sans doute son féminisme assumé sinon revendiqué. Galaxies lui avait déjà ouvert ses pages avec «Un amour d’automne» dans son n° 53 de mai 2018. Il était évident qu’un espace plus important devait lui être offert en cette circonstance. Aux articles sur son œuvre et sur sa vie qui figurent dans le dossier qui lui est consacré suivent donc trois nouvelles issues d’anthologies auxquelles elle avait été conviée autrefois, et vous en trouverez quatorze autres, dont huit inédites, dans le hors-série numérique de Galaxies couplé avec ce numéro.
Cependant il nous a paru que, pour l’accompagner, la présence de plumes féminines s’imposait d’elle-même: au total sept nouvelles en provenance de divers horizons, à commencer par celle de Joëlle Wintrebert, un rare et précieux hommage, premiers pas pour deux des suivantes, auxquelles il convient d’ajouter une ressortie qui s’imposait dans le cadre du «Service des Affaires classées» initié par notre collègue Jean-Pierre Andrevon. Andrevon qui justement avait cosigné avec Christine Renard une longue nouvelle : « Ne me réveillez pas», que vous pourrez découvrir dans le hors-série spécial. Vous retrouverez bien entendu la chronique bédé-comics de Frank (Zaitchick) James qui, comme par hasard, s’est penché sur le cas d’une singulière héroïne et un «Écran du Souvenir» un peu particulier à propos d’un film fantastique rare et, qui plus est, réalisé par une femme. Enfin, pour conclure, place à la moisson des films du semestre écoulé recueillie par notre ami et néanmoins collègue déjà cité, Jean-Pierre Andrevon. (…)