numéro 65
dossier: l’imaginaire en chansons
Responsable du dossier: Jean-pierre fontana
Format livre
192 pages – disponible
Prix : 14,99 € (dont 3,99 € de frais de port)
Format numérique
4,90 € / Tout en couleurs et avec des nouvelles en bonus !
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éditorial 65
EXTRAIT
Ce n’est qu’un “au revoir” comme dit la chanson… Tiens! À propos de chanson, c’est justement le thème du dossier de ce numéro de Galaxies-Mercury que j’ai eu le plaisir de mitonner pour la dernière fois après quelques années passées aux côtés de Pierre Gévart qui avait bien voulu nous héberger, mon collègue, ami et complice Jean-Pierre Andrevon et moi-même, suite à la disparition de Lunatique dont j’avais assuré la rédaction entre 2005 et 2011. Au revoir! C’est en général les mots que l’on prononce en se serrant la pogne ou avant de chastes baisers (à éviter par ces temps épidémiques) lorsque l’on doit se séparer.
C’est ce que nous nous sommes dit, dans l’après-midi du 22 septembre 2019, auteurs et artistes présents au chaleureux salon “Entre les Mondes” qu’organise chaque année, depuis 2017, mon presque voisin de palier, l’Aurillacois, Jean-Luc Marcastel. Chose promise, Jean-Luc, la lauréate du concours que tu avais organisé est bien présente dans ces pages–une plume en herbe qui ne demande qu’à pousser! –ainsi que celle et ceux que j’avais sollicités et qui ont aussitôt accepté de rejoindre le sommaire de ce numéro: Sandrine Gestin, Victor Fleury, Christian Grenier, Alain Grousset et Jean-Luc le susnommé. Peu de temps après, mon ami et presque voisin (encore un!) Bernard Sigaud m’a proposé, comme à l’accoutumée, quelques surprises que je me suis empressé d’insérer: Michaël Blumlein et Giulia Pretta.
Puis un voyage à Tournus chez l’indispensable et encyclopédique Philippe Mura m’a permis de retrouver une déjà ancienne connaissance –porteuse de dives bouteilles comme il se doit en ces régions de grands crus –, l’excellente Danielle Martinigol qui n’a pas hésité un seul instant à répondre à mon invitation. Il ne manquait plus, pour clore cet ultime sommaire, que celui qui me fait l’honneur de m’associer à nombre de ses projets depuis de nombreuses années, qui m’attend patiemment dans sa demeure haut perchée en Dauphiné, Jean-Pierre Andrevon en l’occurrence (promis juré, je passe chez toi les beaux jours venus!). Et il a accepté, bien que toujours très (trop) occupé, avec quelques perles qui valent bien quelques pintes de rires. Mais avant de clore cet avant-goût de lecture, je voudrais remercier tous ceux qui ont chaque fois accepté mes invitations. (…)