numéro 71
dossier: Intelligence artificielle en SF
Responsable du dossier: Denis Taillandier
Format livre
192 pages – disponible
Prix : 14,99 € (dont 3,99 € de frais de port)
Format numérique
4,90 € / Tout en couleurs et avec des nouvelles en bonus !
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éditorial 71
EXTRAIT
L’intelligence artificielle, ça peut être très vif et ça peut être encore un peu laborieux, mais ça s’améliore. Souvenez-vous qu’il fut un temps où l’on parlait du jour où un ordinateur battrait un maître international aux échecs comme du jour oùles poules auraient des dents. Eh bien ça, c’est fait, pas pour les poules, mais pour la partie d’échecs gagnée et le maître maté. Denis Taillandier nous a préparé un dossier remarquable sur l’intelligence artificielle, qui envahit de plus en plus notre vie quotidienne et emplit nos futurs tels que les imagine la science-fiction pour le meilleur ou pour le pire – qu’entrevoyait déjà Orwell dans 1984.
Outre un article signé Tony Sanchez, on peut y lire des nouvelles de l’autrice chinoise Xia Jia et du Japonais Taiyō Fujii, ainsi qu’un entretien avec Xia Jia, Olivier Paquet et Taiyō Fujii. Passionnant ! Le « Grand Article » semestriel est quasiment un second dossier, préparé par Lucie Chenu. Il est consacré à une autrice et une actrice majeure des littératures de l’imaginaire : Léa Silhol, avec un retour sur son œuvre suivi d’une bibliographie, une interview et une nouvelle originale écrite spécialement pour ce numéro : de quoi vous gâter ! Et puis bien sûr des nouvelles, à commencer par « Dans la boucle », de Ken Liu, que nous retrouvons toujours avec grand plaisir, puis l’un des prix le Bussy 2020, « Flora ※ Fauna », de Guillaume Laffineur, suivi de « Par les yeux d’autrui », une nouvelle de N. R. M. Roshak. Un beau numéro et, si vous prenez le temps de télécharger le supplément numérique ou plus simplement si vous disposez d’une édition électronique de ce numéro, vous découvrirez encore trois autres textes issus du prix le Bussy, de Caza, « État de ruine », de Xavier Watillon, « Dragonload », et de Brice et Romain Le Roux, « Apath ». (…)