numéro 45
dossier: les nanotechnologies
responsable du dossier: Denis Taillandier

Format livre
192 pages – disponible
Prix : 14,99 € (dont 3,99 € de frais de port)
Format numérique
4,90 € / Tout en couleurs et avec des nouvelles en bonus !
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éditorial 45
EXTRAIT
(…) Notre dossier, cette fois, est consacré aux nanotechnologies. L’idée en avait été soufflée depuis déjà un long moment par une des membres de l’équipe. Mais il fallait que cela se concrétise, que cela fasse son chemin, qu’adviennent les rencontres et les occasions favorables. Ce fut cette fois celle de Denis Taillandier, qui avait préparé le dossier du numéro 39 sur la science-fiction japonaise. C’est ainsi que vous allez découvrir l’univers de l’infiniment nano, qui est déjà le nôtre, et va le devenir de plus en plus. Les nanotechnologies, c’est une nouvelle physique, un nouveau cadre de vie, de nouvelles possibilités, une nouvelle façon de penser, de nouvelles approches, une nouvelle façon de faire et de lire de la science-fiction. C’est une de ces portes qui s’ouvrent, et dans lesquelles l’auteur de science-fiction s’engouffre en s’interrogeant sur les conséquences.
Parfois, la porte se referme vite. Mais parfois aussi, elle révèle un autre monde. Autour de ce thème, beaucoup de nouvelles: la physique quantique et les nanotechnologies avec «La probabilité de sa présence» de Jean-Louis Trudelet «La source» d’Éric Lysøe (deuxième au palmarès du Prix le Bussy 2016) mais aussi des mondes pétris d’imaginaire et de poésie comme ceux que nous réservent Aliette de Bodard(«Trois tasses de deuil sous les étoiles»), Célia Chalfoun («La route des Orsadoles») et Grégoire Kenner(«Ophelia»).Elles viennent s’ajouter aux textes de Hirotaka Tobi et Bruno Pochesci, qui illustrent le dossier, composant ainsi, pour commencer l’année 2017, un bouquet remarquable pour vous souhaiter une excellente année! Ce monde nouveau sera malheureusement un monde sans André Ruellan, que nous avions accueilli pour un dossier, et il nous avait accordé deux de ses dernières nouvelles. Mais les écrivains ne meurent jamais tout-à-fait, pour peu qu’on les lise encore.
Alors, lisons ses livres!